Site officiel du POI – Parti Ouvrier Indépendant

Intervention de José Nivoi, responsable du Comité autonome des travailleurs portuaires de Gênes (CALP)

00:00 Introduction par Mélinda Sauger (France)
12:58 José Nivoi (Italie)
29:03 Markus Sokol (Brésil)
42:37 Yessa Belkhodja (France)
58:47 Haïm Bresheeth (Royaume-Uni)
1:21:46 Jana Silverman (Etats-Unis d’Amérique)
1:31:32 Lybon Mabasa (Azanie – Afrique du Sud)
1:49:16 Andrej Hunko (Allemagne)
2:06:58 Jérôme Legavre (France)

Articles à lire sur le site d’Informations ouvrières rendant compte de cette assemblée :
– « Leurs guerres ne sont pas les nôtres, organisons-nous maintenant ! »
– « Il n’y a rien de juif dans l’apartheid, dans le colonialisme »

Visionner la conclusion du Cercle d’Études Pierre Lambert du 24 avril, dans laquelle l’orateur Michel Sérac appelle à participer massivement à l’assemblée du 5 mai, à « aller chercher les jeunes (…), les travailleurs, qui sont des pères et des mères » : « ce n’est pas quand la guerre tue mille soldats par jour, quand les libertés sont supprimées par la censure, quand la loi martiale terrorise la population, ce n’est pas là qu’on peut combattre la guerre, c’est avant ! C’est avant : quand on peut encore s’organiser, manifester, alors c’est maintenant, maintenant ! Cette fois il faut les empêcher. Avant ! Réaliser la menace de 1912, sans être berné et trahi. Si les gouvernements veulent plonger dans le carnage les peuples qui n’en veulent pas, alors les peuples sont en état de légitime défense, ils sont en droit démocratique de se mobiliser, pour renverser les gouvernements, qui bafouent la majorité. Pour mener ce combat, il faut venir en masse le 5 mai, pour nous organiser avec les camarades américains, africains, allemands, anglais, italiens, nous organiser en France, dans tous les pays, pour gagner la bataille de la guerre à la guerre, qui n’a pas été gagnée en 1912, et que nous devons gagner avant ! Plus que jamais, l’ennemi est dans notre pays : c’est la classe des profiteurs de guerre, la classe des exploiteurs. Leurs guerres ne sont pas les nôtres.«